Ouais non le titre n'a rien à voir avec l'article, j'ai juste la chanson en tête uhuh x) Et celui qui la trouve gagne un gâteau sec (bon avec google c'est un peu facile quand même >.>")
J'me trouve de nouveau dans une période à la con que je pensais avoir dépassé pour de bon après la terminale : mais que vais-je faire? Que vais-je devenir ?
Deux grandes questions existentielles qui ont tendance à me faire peur et pour lesquelles les réponses sont toujours très floues.
Et là, en dehors de mon cas, j'étais en train de me dire qu'on vit dans un pays où le système éducatif a un sérieux problème.
Déjà en terminale je m'étais fait la réflexion puisque malgré une visite chez le conseiller d'orientation j'étais plus que démunie face à mes questions. En effet, je ne savais même pas à l'époque si je devais m'orienter plutôt vers une prépa, la fac, une école, un dut ? Déjà juste ça, un conseiller d'orientation devrait être en mesure de l'éclaircir... (et pourtant j'étais dans un des meilleurs lycées publics d'aquitaine)
Ensuite, dans quelle branche ? Pas moyen d'avoir une réponse en fonction de mes gouts, des mes ambitions etc.
Et enfin pour quels débouchés ? Parce que là aussi, c'est bien beau de vouloir étudier la philo (par exemple) mais si c'est pour devenir prof non merci x)
Aujourd'hui la situation est encore plus délicate puisque je suis actuellement en deuxième année de fac (dont j'ai obtenu le 1° semestre qui plus est) donc tout recommencer à zero signifierait perdre deux ans... Et puis en plus à un semestre près j'suis à bac+2 donc je peux me réorienter vers n'importe quelle licence pro.
Malheureusement, même en étant consciente de tout ça, trop c'est trop, la saturation est atteinte et je ne PEUX plus. Je n'aurais donc pas mon second semestre dont le contrôle continu sera catastrophique et j'hésite encore à me présenter aux partiels et rattrapages.
J'ai donc BESOIN de réponses. Et vite.
J'ai songé à m'inscrire dans une filière sans débouchés mais qui me plait (la philo en l'occurence) histoire de rester dans le circuit scolaire et de pouvoir déveloper mes connaissances dans un domaine particulièrement intéressant, puis aller en iut (je ne peux pas y aller directement, le délai d'inscription est passé). Le problème c'est que rien ne me garantie d'être prise par la suite à ce fameux dut. Et je perds toujours deux ans avec cette histoire. J'me suis donc dit "pourquoi pas s'inscrire aux deux ? Je fais de la philo pendant toute l'année, puis me débrouille à obtenir mon second semestre de L2 de géo, et après hop j'tente la licence pro".
C'est bien joli mais
1. y'a les frais d'inscription qui coutent cher (même si ça reste tout à fait raisonnable par rapport aux facs étrangères par exemple, je ne remets pas le cout d'une année en question) et si je dois les mutiplier par deux ça devient impossible
2. rien ne me garantie non plus d'entrer en licence pro en claquant des doigts, il me faudrait probablement une préparation spéciale et donc perdre un an de plus
3. si j'ai tout laché en géo seulement une semaine avant la fin parce que je ne pouvais vraiment plus blairer tout ça, rien ne me dit que ce sera différent l'an prochain.
Du coup avec tout ça en tête je décide me rendre au SUIO (service universitaire d'information et d'orientation, quelque chose comme ça) pour obtenir des réponses, des idées, des solutions. Je me dis qu'étant à la fac j'ai des chances de rencontrer un professionnel qui saura dissiper ce brouillard, d'autant qu'un pote pourtant sceptique de nature était ravi de son passage là bas quelques mois plus tôt.
Nous sommes vendredi, il est 15h, le SUIO est fermé.
Merci bien.
Il sera aussi fermé pendant les vacances scolaire bien évidemment (sachant qu'après c'est les exams et qu'il serait plutôt sympathique pour moi d'obtenir des réponses avant x.x)
Après on s'étonne de l'échec scolaire si important en fac, en même temps si les étudiants étaient moins livrés à eux-mêmes peut être que ça aiderait.
Quant à moi je peux aussi aller me faire voir et louper ma vie toute seule dans mon coin.
MERCI BEAUCOUP
Heureusement que dans tout ce caca ambiant, il reste des glaciers sympathiques qui non seulement vous propose LE gout qu'il vous faut (ici c'était la poire <3) mais en plus essaie de répondre à vos questions existentielles vaguement évoquées par un "Partez en voyage ! Partez en Australie : vous bosser tout l'été et après c'est l'aventure"
C'est pas trop ce qu'il me faut en ce moment (j'serais tentée de ne jamais revenir) et pourtant j'y avais pensé moi aussi à aller sauver les koalas avec des hippies internationaux et d'en profiter pour faire de la plongée au paradis... Et dans ce système pourri où mes questions me pourrissent la soirée et un glacier me l'éclaire, je serais bien tentée de tout quitter et de l'écouter. Il est toujours de bon conseil parait-il. Et ses glaces sont tellement bonnes que je lui accorderais bien ma confiance =)
J'me trouve de nouveau dans une période à la con que je pensais avoir dépassé pour de bon après la terminale : mais que vais-je faire? Que vais-je devenir ?
Deux grandes questions existentielles qui ont tendance à me faire peur et pour lesquelles les réponses sont toujours très floues.
Et là, en dehors de mon cas, j'étais en train de me dire qu'on vit dans un pays où le système éducatif a un sérieux problème.
Déjà en terminale je m'étais fait la réflexion puisque malgré une visite chez le conseiller d'orientation j'étais plus que démunie face à mes questions. En effet, je ne savais même pas à l'époque si je devais m'orienter plutôt vers une prépa, la fac, une école, un dut ? Déjà juste ça, un conseiller d'orientation devrait être en mesure de l'éclaircir... (et pourtant j'étais dans un des meilleurs lycées publics d'aquitaine)
Ensuite, dans quelle branche ? Pas moyen d'avoir une réponse en fonction de mes gouts, des mes ambitions etc.
Et enfin pour quels débouchés ? Parce que là aussi, c'est bien beau de vouloir étudier la philo (par exemple) mais si c'est pour devenir prof non merci x)
Aujourd'hui la situation est encore plus délicate puisque je suis actuellement en deuxième année de fac (dont j'ai obtenu le 1° semestre qui plus est) donc tout recommencer à zero signifierait perdre deux ans... Et puis en plus à un semestre près j'suis à bac+2 donc je peux me réorienter vers n'importe quelle licence pro.
Malheureusement, même en étant consciente de tout ça, trop c'est trop, la saturation est atteinte et je ne PEUX plus. Je n'aurais donc pas mon second semestre dont le contrôle continu sera catastrophique et j'hésite encore à me présenter aux partiels et rattrapages.
J'ai donc BESOIN de réponses. Et vite.
J'ai songé à m'inscrire dans une filière sans débouchés mais qui me plait (la philo en l'occurence) histoire de rester dans le circuit scolaire et de pouvoir déveloper mes connaissances dans un domaine particulièrement intéressant, puis aller en iut (je ne peux pas y aller directement, le délai d'inscription est passé). Le problème c'est que rien ne me garantie d'être prise par la suite à ce fameux dut. Et je perds toujours deux ans avec cette histoire. J'me suis donc dit "pourquoi pas s'inscrire aux deux ? Je fais de la philo pendant toute l'année, puis me débrouille à obtenir mon second semestre de L2 de géo, et après hop j'tente la licence pro".
C'est bien joli mais
1. y'a les frais d'inscription qui coutent cher (même si ça reste tout à fait raisonnable par rapport aux facs étrangères par exemple, je ne remets pas le cout d'une année en question) et si je dois les mutiplier par deux ça devient impossible
2. rien ne me garantie non plus d'entrer en licence pro en claquant des doigts, il me faudrait probablement une préparation spéciale et donc perdre un an de plus
3. si j'ai tout laché en géo seulement une semaine avant la fin parce que je ne pouvais vraiment plus blairer tout ça, rien ne me dit que ce sera différent l'an prochain.
Du coup avec tout ça en tête je décide me rendre au SUIO (service universitaire d'information et d'orientation, quelque chose comme ça) pour obtenir des réponses, des idées, des solutions. Je me dis qu'étant à la fac j'ai des chances de rencontrer un professionnel qui saura dissiper ce brouillard, d'autant qu'un pote pourtant sceptique de nature était ravi de son passage là bas quelques mois plus tôt.
Nous sommes vendredi, il est 15h, le SUIO est fermé.
Merci bien.
Il sera aussi fermé pendant les vacances scolaire bien évidemment (sachant qu'après c'est les exams et qu'il serait plutôt sympathique pour moi d'obtenir des réponses avant x.x)
Après on s'étonne de l'échec scolaire si important en fac, en même temps si les étudiants étaient moins livrés à eux-mêmes peut être que ça aiderait.
Quant à moi je peux aussi aller me faire voir et louper ma vie toute seule dans mon coin.
MERCI BEAUCOUP
Heureusement que dans tout ce caca ambiant, il reste des glaciers sympathiques qui non seulement vous propose LE gout qu'il vous faut (ici c'était la poire <3) mais en plus essaie de répondre à vos questions existentielles vaguement évoquées par un "Partez en voyage ! Partez en Australie : vous bosser tout l'été et après c'est l'aventure"
C'est pas trop ce qu'il me faut en ce moment (j'serais tentée de ne jamais revenir) et pourtant j'y avais pensé moi aussi à aller sauver les koalas avec des hippies internationaux et d'en profiter pour faire de la plongée au paradis... Et dans ce système pourri où mes questions me pourrissent la soirée et un glacier me l'éclaire, je serais bien tentée de tout quitter et de l'écouter. Il est toujours de bon conseil parait-il. Et ses glaces sont tellement bonnes que je lui accorderais bien ma confiance =)