L'inhumanité, en voilà un sujet qu'il est intéressant (bien plus que mon commentaire de carte sur Genève en tout cas uhuh xD)
J'parle pas de l'inhumanité cruauté/jemenfoutiste habituelle du monde, nan, là j'parle de ces jours ou ces moments où la conscience nous lâche. Généralement suite à une grande fatigue morale plus que physique, on se retrouve dans un espèce d'état de léthargie où tout autour de soi parait plus clair mais tellement facile et amusant à détruire. Même les choses auxquelles on tient le plus, on prend soudainement un plaisir sadique à devenir cruel.
Personnellement, j'ai adoré cet état sur le moment, j'ai adoré tout détruire y compris moi même finalement.
J'ai l'impression que ces états d'inhumanité révèle vraiment le fond de notre être. Ce qu'on est vraiment. Quand on a plus de contraintes normatives, morales voire stratégiques, quand tout lâche et qu'on devient littéralement démoniaque.
En fait ce qui est révélateur, c'est pas vraiment les actions entreprises à ce moment là, mais le plaisir qu'on y prend.
Ça en est plutôt flippant d'ailleurs.
Mais bon le vrai problème en fait dans l'histoire c'est qu'une fois la période passée, la conscience revient x) Et là, c'est le drame. Suivant ce qu'on a cassé, il est pas toujours évident de réparer. D'ailleurs c'est plus du rafistolage que de la réparation. Du sauvons les meubles plus qu'autre chose. On peut même perdre beaucoup d'ailleurs.
Et là où c'est ballot, c'est que généralement on souffre bien plus longtemps des conséquences qu'on ne prend de plaisir à perdre toute limite ...
Alors la question est : cela vaut-il le coup ?
Il me semble que dans le fond c'est plutôt oui parce que même si on peut s'en vouloir par la suite, les sentiments exprimés étaient on ne peut plus vrais. Peut être pas assez nuancés, pas assez représentatifs du long terme mais vrais. Alors si seule la vérité fait des remous, il n'y a pas à regretter, si ?
Bon bien sur, la vérité étant un concept plus que foireux tout ceci est sujet à caution mais en tout cas pour ma part, j'adore ce sentiment d'inhumanité. Tellement grisant ...
Personnellement, j'ai adoré cet état sur le moment, j'ai adoré tout détruire y compris moi même finalement.
J'ai l'impression que ces états d'inhumanité révèle vraiment le fond de notre être. Ce qu'on est vraiment. Quand on a plus de contraintes normatives, morales voire stratégiques, quand tout lâche et qu'on devient littéralement démoniaque.
En fait ce qui est révélateur, c'est pas vraiment les actions entreprises à ce moment là, mais le plaisir qu'on y prend.
Ça en est plutôt flippant d'ailleurs.
Mais bon le vrai problème en fait dans l'histoire c'est qu'une fois la période passée, la conscience revient x) Et là, c'est le drame. Suivant ce qu'on a cassé, il est pas toujours évident de réparer. D'ailleurs c'est plus du rafistolage que de la réparation. Du sauvons les meubles plus qu'autre chose. On peut même perdre beaucoup d'ailleurs.
Et là où c'est ballot, c'est que généralement on souffre bien plus longtemps des conséquences qu'on ne prend de plaisir à perdre toute limite ...
Alors la question est : cela vaut-il le coup ?
Il me semble que dans le fond c'est plutôt oui parce que même si on peut s'en vouloir par la suite, les sentiments exprimés étaient on ne peut plus vrais. Peut être pas assez nuancés, pas assez représentatifs du long terme mais vrais. Alors si seule la vérité fait des remous, il n'y a pas à regretter, si ?
Bon bien sur, la vérité étant un concept plus que foireux tout ceci est sujet à caution mais en tout cas pour ma part, j'adore ce sentiment d'inhumanité. Tellement grisant ...